Après un départ en gare de Tourcoing à 6h du matin le 15 Octobre, 32 étudiants de 2eme année en audiovisuel, section image, montage et gestion de la production sont arrivés à Bordeaux pour participer au Festival international du film indépendant de Bordeaux, Le FIFIB.
Ils ont été invités à la soirée d’ouverture avec présentation personnalisée des organisateurs et membres du jury avec diffusion de First Love du réalisateur japonais Takashi Miike.
Les 16, 17 et 18 Octobre, ont été riches en diffusion, présentation et analyses de films. Une pré-selection avait été effectuée avec les programmateurs du festival et les enseignants accompagnateurs en fonction du thème d’étude national de 2eme année en culture artistique, Vérité(s)& Mensonge(s) .
Au programme imposé , Sorry to bother you de Boots Riley, Swallow de Carlo Mirabella-Davis, A certain kind of silence de Michael Hoguenaeur , Sibel, en présence des réalisateurs Cagla Zencirci et Guillaume Giovanetti, une séance court-métrages.
Les étudiants ont ainsi pu voir entre 8 et 11 films dont 5 théma et assisté à un débat à l’issue de chaque séance.
Premier festival
C’est ma première expérience de festival de longs/courts métrages et j’en sors très contente !
Étant donné que je n’ai pas eu d’autres expériences de festival je ne peux pas comparer mais j’ai était très surprise de la programmation : je l’ai trouvée très intéressante et ai apprécié tous les films que j’ai vus.
Les films étaient assez variés dans l’ensemble, allant des films humoristiques et absurdes aux plus sérieux et profonds. Et en même temps certains d’entre eux avaient des liens comme les films A certain kind of silence et Swallow où on retrouvait une atmosphère dérangeante voire angoissante chez les familles riches.
J’ai aussi beaucoup apprécié la présence d’intervenants des différents films (réalisateurs, scénaristes, acteurs,etc). Avoir leur point de vue sur le film et discuter avec eux a été enrichissant.
Encore un grand merci pour avoir rendu possible ce festival.
Caroline Grandsire, montage 2
5eme festival
J’ai participé à cinq festivals en tout et des cinq, le fifib est celui qui avait la meilleure sélection. Que ce soit les films en compétitions ou les rétrospectives, je n’ai vu aucun mauvais film et aucun qui ne m’ait déplu, c’était vraiment une grande qualité du festival. J’ai également noté qu’à chaque séance, il y avait au moins un intervenant qui disait quelques mots au début du visionnage. Cet effort était bienvenu, surtout pour les rétrospectives où il y aurait été compréhensible de ne rien avoir. De plus, à une exception près, ceux-ci semblaient vraiment savoir de quoi ils parlaient ou au moins d’apprécier beaucoup le film que nous allions voir (mention spéciale à la femme qui a présenté Santa Sangre et qui a dit être resté bouche bée lors de son premier visionnage, ça a été le cas de toute la salle).
Martin Née, Montage 2